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Bali et l'île Gili Trawangan

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Nous avons fini l’Indonésie par Bali et l’île de Gili T !

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L’île de Gili T se trouve à une heure de bateau à l’est de Bali. L’eau turquoise nous a vite donné envie de faire du snorkeling. Une fois arrivés sur l’île, on a dû mettre une heure top chrono pour se retrouver le masque et tuba sur la tête, les fesses à la surface de l’eau, en train d’explorer les fonds marins.

Puis, Géo a décidé de passer son « Open scuba diver », première certification de plongée, permettant de replonger dans d’autres pays par la suite.

Il a eu la chance d’avoir une instructrice pour lui tout seul. Comme Maou est déjà « dive master », on a pu aller faire deux plongées à 12 mètres.

Pour une première, nous avons vu beaucoup de poissons. La visibilité était de 10 mètres contre 40m en saison sèche. Nous avons eu la chance de voir des poissons clown, poissons lion, bébés requins, tortues, seiches, murènes, poulpe et plein d’autres poissons dont on ne connaît pas le nom.

Bali et Gili T

A cette période, l’île de Gili est paisible et heureusement car on n’aurait beaucoup moins aimé. Aucun véhicule à essence ne circule, la plupart des chemins sont encore en terre. C’est un peu le Ibiza de Bali, touristes australiens en grande majorité. Notre île à nous, à la Robinson, ça sera pour une prochaine fois ! En période de pluie, les chemins se transforment en petites rivières ! On en a fait les frais en revenant un soir du centre de l’île jusqu’à notre logement. Suite à un orage, on est rentré les chevilles dans l’eau du début à la fin ! Solidarité aux parisiens qui sont actuellement en période de crue.

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De retour à Bali, on en a profité pour louer un scooter et faire le tour de l’île. (Bon, il est aussi vrai qu’on a perdu une heure. On s’est rendu compte au bout de 5 kilomètres que la roue arrière était crevée et qu’il fallait faire demi tour comme on pouvait). Hormis cette petite anecdote vite oubliée,   nous avons tous les deux eu le sentiment de se sentir vite bien ici. La circulation est moins dense, c’est plus reposant. Les gens sont accueillants, l’ambiance est mystique. Un mélange de temples, mousse et végétation ornent chaque recoin des rues. Nous assistons, quotidiennement, à des cérémonies d’offrandes. L’encens allumé nous rappelle que nous sommes bien en Asie. Bali, c’est une ambiance unique.

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Il nous est même arrivé d’entrer dans un soit disant « temple ». Du moins, on pensait que c’était un temple comme l’entrée était majestueuse et accueillante. Au final, c’était bien chez des gens chez qui nous sommes rentrés… Étrangement, on ne nous a pas demandé de payer pour entrer mais… de ressortir . C’est pour dire, à Bali, il suffit de s’y perdre pour voir de belles choses !

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On a tout de même décidé de faire les terrasses de riz de Tegalalang, les beaux jardins du sanctuaire hindouiste de Goa gaja . On y trouve la cave de l’éléphant et juste à côté se trouvent des bains de purification.

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On a aussi traversé les immenses terrasses de riz de Jatiluwih. A cet endroit de Bali, on en trouve à perte de vue. Coup de cœur pour tous les deux !

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Pas étonnant que l’Indonésie soit dans les 5 plus gros producteurs de riz dans le monde…

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